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Nous vivons une époque inédite. Dans l’histoire moderne, jamais notre pays n’aura été autant bouleversé par une crise… en temps de paix ! Il faut remonter à la 2nd guerre mondiale pour voir un tel bouleversement au sein de notre économie.
Qu’on se le dise, nous allons droit au-devant de gros ennuis. A comparer, la crise des subprimes de 2008 pourrait apparaître comme une simple crise qui n’aura finalement touché que le secteur de l’immobilier et le secteur financier, non les particuliers.
Devons-nous être inquiets de l’avenir proche ?
Quid de la crise financière qui approche à grand pas ? Celle-ci devrait être de tout autre nature. C’est un gros bouleversement qui s’annonce. Car, évidemment, ce n’est pas en deux ans que nous allons remonter la pente. Nous sommes actuellement en train de préparer notre mise en esclavage. Une mise en esclavage subtile où, à ce jour, rien ne nous semble si insupportable, financièrement parlant.
Chaque mois, nous recevons des aides et sommes assistés par l’Etat qui emprunte des milliards qui sortent d’on ne sait où. L’illusion est parfaite… mais gare à la gueule de bois du lendemain. Le réveil va être difficile pour tous ! Dure d’envisager de passer une retraite agréable dans ce contexte.
« La bête de l’événement est là » a dit le président !
Qu’a voulu dire le président des français par cette phrase « la bête de l’événement est là » ? Celui-ci n’en est, certes, pas à sa première phrase choc, mais tout de même, cette phrase a de quoi nous laisser perplexe. De là à dire que les gouvernements profitent du Covid pour changer de paradigme, il n’y a qu’un pas à faire.
Le fameux slogan « nous sommes en guerre » semblait déjà ridicule. En 40, on nous demandait d’aller mourir pour la patrie sur le champ de bataille, tout refus était de nature à être fusillé sur le champ. En 2020, on nous demandait de rester à la maison, à encaisser les aides de l’Etat, et à ne pas bouger de notre canapé. La différence prêtait à sourire.
Et nos retraites alors ?
Concernant notre épargne retraite, il ne fait aucun doute que celle-ci prendra un coup de bambou derrière la tête. Est-il utile de rappeler que les caisses de retraite posaient déjà problème avant même la crise du covid. Le gouvernement envisageait même de réformer les retraites par un allongement de la durée de cotisation.
Avec la crise sans précédent qui se profile à l’horizon, je vous laisse imaginer les dégâts qui seront davantage prégnants. Les futurs retraités ont vraiment du mouron à se faire. Aussi, si vous faites partie de cette catégorie de français pour qui la retraite arrive à grand pas devant eux, il ne serait pas stupide de commencer réellement à vous inquiéter de cette dernière.
La solution ? Epargner de votre côté pour préparer votre retraite. L’épargne retraite ou PER est disponible depuis fin 2019. Celle-ci se décline sous trois formes, elle peut être soit individuelle, soit dédiées aux entreprises. Le PER individuel est sans doute le meilleur PER. Il remplace l’ancien PERP.
Une mise en esclavage ?
Telle la grenouille que l’on met dans une casserole à feu doux, nous nous laissons cuire à petit feu, sans réagir. Le moment venu, il sera certainement trop tard pour réagir. Nous serons bel et bien esclave.
Un esclave moderne bien entendu, l’illusion sera parfaite. On nous demandera de travailler dur, de cotiser encore davantage, d’être taxé et imposé comme jamais pour rembourser la dette. Mais ce ne sera que le début…
En fait, il ne faut pas aller bien loin pour s’apercevoir que ce monde existe déjà. La Chine et le mode de crédit social et de reconnaissance faciale est-elle une ébauche de ce qui nous attend en Occident ?
Des restrictions de libertés à venir
Le deal du Grand reset fait froid dans le dos. Vont-ils oser aller jusque-là ? Les dettes seraient effacées en échange de quoi nous perdrions toute notion de propriété et une grande partie de nos libertés. On peut déjà entrevoir ce processus au travers de la vaccination…
Aujourd’hui, on nous dit quoi ? Si vous n’êtes pas vaccinés, vous ne pourrez plus voyager, plus aller au restaurant, dans les lieux publics… Bref, on nous impose subtilement une restriction de nos libertés par la vaccination et toute personne qui s’y refuserait s’exposerait à une mort sociale sans recours possible.
Allons-nous perdre le contrôle de nos finances ?
On peut s’interroger, au même titre, de nos finances. L’idée que l’Etat puisse ponctionner nos fonds en banque n’est pas à exclure. Certes, celui-ci affirme que notre épargne est protégée à hauteur de 100 k€ en cas de crise financière d’envergure, comme celle qui se profile. Mais, dans les faits, cela sera-t-il vraiment tenable si de nombreux épargnants désirent retirer leurs fonds simultanément ? Rien n’est moins sûr.
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